L'ADIEU

babarinde Par Le 13/10/2017

Dans Mes Ecrits / My Writings

 

Sitôt le matin levé
Je serre dans mes bras
Sachant que d'un moment à l'autre
Elle va s'envoler
Malgré moi, bon gré le vent,
  Elle verse des larmes
Fleuve fondu, gouttes d'argent,
Les feuilles d'une forêt éveillée
Chutent violemment au sol
Encore je serai seul
Aussitôt qu'elle prendrait son envol
Va princesse!
Va ma reine! tel l'aigle royal!
Bats tes ailes de feu,
Pour prendre ton envol.
L'OMBRE QUI DANSAIT